Cybre O.S.86 The_Little_Bug

May day.

MAY

May vient de perdre son mari, elle flotte entre le refus de vieillir comme une veuve ordinaire et l’absence de projet dans sa vie.
Jusqu’au jour où, presque par hasard, un baiser la réveille et l’entraîne dans une expérience de jeune fille, retrouvant une part d’elle-même enfouie dans son coeur et dans son corps.

Dimanche 3 juin,
Un peu plus de 2H30... c'est long, mais il faut reconnaitre que ça tient largement la route... une mise en scene magnifique de Didier Bezace.  On a d'yeux que pour Geneviève Mnich et Vincent Winterhalter. Des larmes et des pleurs dans la même pièce, c'est assez rare pour le souligner.

Encore un grand bravo pour la dernière de la pièce...
Encore un grand bravo pour cette dernière de la saison.

Voir un extrait de la pièce

GENCON...

Le WE du 27... anniversaire de ma soeur préférée, j'ai fait un tour à la GENCON... ce qui m'a permis de me faire marcher dessus au tournois de DT... Mais pas seulement... aussi de découvrir d'autres jeux :

Die Kutschfahrt zur Teufelsburg
Les joueurs incarnent chacun un personnage faisant partie d'une des deux sociétés secrètes : l'Ordre des secrets ouverts (symbole : les clés) ou la confrérie des vrais mensonges (symbole : les coupes).

Tous sont à bord d'un convoi faisant route vers le château du diable, mais personne ne sait vraiment qui est qui. La société secrète qui réunira ses trois symboles et se reconnaîtra aura accès à la Connaissance en arrivant au château...

J'ai bien aimé... évidemment à 3, c'est assez dur de juger, mais le système est sympa... et la prise de tête est au RDV !

      Caylus Magna Carta
Le jeu est composé de cartes, de pions ouvriers, des pions ressources, des pierres de construction (au chateau) et le fameux prévôt. Light quoi. Chaque joueur possède un set de cartes identiques, qu'il va mélanger et poser en pioche, faces cachées devant lui. Il se fera une main de départ de quelques cartes, les premières de sa pioche, et à son tour, pourra, sans se poser sur une case spéciale, construire un des bâtiments qu'il a en main (les cartes donc) en faisant un chemin, payer 1 pour piocher une nouvelle carte bâtiment, changer sa main complète (si la pioche est épuisée, on la refait avec la défausse), poser un ouvrier sur une des cartes bâtiments déjà construits, passer son tour, construire l'un des gros bâtiments communs (oui, il y a des cartes communes posées à part en début de partie, cartes qui demandent de l'Or) Puis on résout, comme de normalement, jusqu'au prévôt qui, forcément, a pu, en commençant par celui qui a passé en premier, bouger en payant.

Comme Caylus... mais pas vraiment, d'ou le dérangement, on y joue avec les mêmes mécanisme par habitude alors que justement, les différences de jeux... font les différence de pts à l'arrivée... A part qu'il soit portable puisqu'en carte, il n'apporte pas grand chose. De plus l'aléatoire fait sont apparition ! Alors étant heureux en amour... C'est pas mon truc !

      Petits Meurtres et Faits divers
L'inspecteur va au travers d'interrogatoires tenter de démasquer le coupable dans une affaire bien mystérieuse.

Génial, extra top. On me l'a offert et je bénie cette personne 4 fois ! Du role, du rire... pas de hasard.. ou trés peu ( ba oui, puisque si on définie le coupable avant... l'interet du jeu est bof ) ... donc, peu de hasard disais je. les pts on s'en fout... et ça tombe bien parce que sa gestion est nulle. Mais j'ai qu'une envie... y rejouer !

Peu chair !

Chair de ma chair
d’après Pourquoi l’enfant cuisait dans la polenta d’Aglaja Veteranyi 

Le Théâtre de la Commune présente une pièce mise en scène et adaptée par Ilka Schönbein du vendredi 12 au samedi 27 janvier 2007.

La grande marionnettiste allemande, Ilka Schönbein, revient au Théâtre de la Commune avec le récit mémoire de la fille cadette d’une famille d’artistes de cirque qui a fui la dictature roumaine pour sillonner l’Europe.

Dans cet entêtant monologue, qui se penche tour à tour sur les rapports mère/enfant, la douleur de la perte, le déracinement, la narratrice tente de conjurer ses peurs d’enfant puis d’adolescente : peur que l’extravagant numéro de sa mère ne finisse mal, peur d’ouvrir la porte de la caravane et que « chez nous » s’évapore dans des pays qui sont tous à l’étranger...
Une évocation de l’enfance qui s’en va - vers des lendemains plus sombres - drôle, naïve, mélancolique, parfois tragique dans sa légèreté même, traversée çà et là par des éclairs poétiques et des éclats de rire où subsiste par-dessus tout le désir de vivre.

Aglaja Veteranyi et Ilka Schönbein se retrouvent, au détour du destin fragile d’une enfant de la balle, pour mettre en commun leur qualité d’émotion. 
À la magie des mots de l’une, se greffe la puissance poétique des images de l’autre.

mère couche enfant
  mère embrasse enfant
  mère éteint lumière
  enfant ne couche pas ses yeux
  mère ferme porte
  mère quitte maison
  mère oublie enfant
  la maison de l’enfant meurt de faim

Il est encore trop tot pour savoir si j'ai réellement aimé !
Si la forme est une réelle réussite, le fond est dure... trés dure... trop dure.
Ce n'est pas une réelle inovation que ces marionnettes, mais c'est la première que j'assiste à une pièce de théatre avec une telle diversité de communication, le mélange de genres est superbe.
Cependant, le texte, les mouvements sont d'une telle violence que c'en est limite supportable. Attouchement, crachat, viol... accouchement, c'est dur, c'est cru... voir c'est sale. Ca met mal a l'aise. Il n'y a peut être pas de quoi mais ça dérange, tout comme sa nudité.

Heureusement qu'une polenta ( purée de maïs avec du beurre et de l'ail... ) est servie à la fin du spectacle. Malheureusement, c'est la comédienne qui la sert, et ça fout les jetons !

 

Entretien avec Ilka Schönbein

L'amère...

Dimanche aprés midi, dans la cadre du cycle autour des Mères, nous avons vu cette magnifique pièce au Théatre de la commune :

La Mère

La Mère  est une pièce sur l'éducation, l'initiation, la filiation. C'est le spectacle de l'accouchement d'une conscience, de l'éveil d'un savoir en prise avec le mouvement de l'Histoire. C'est aussi un chemin de vie peu ordinaire, celui d'un apprentissage à l'envers, où le savoir est transmis de la génération montante à l'ancienne, du fils à la mère. La pièce retrace en effet le parcours initiatique de Pélagie Vlassova, une femme russe issue du peuple qui, d'abord hostile au militantisme communiste de son fils, se range petit à petit à ses côtés. Après la mort violente de ce dernier, son action révolutionnaire ira croissant.
À l'époque de sa création, La Mère est aussi un acte politique spontané de contestation. En effet, en montant à Berlin en 1932 cette pièce librement inspirée du roman de Gorki, Brecht prend position contre la campagne de diffamation menée en Allemagne contre l'Union soviétique. Les représentations, à plusieurs reprises interrompues par la police, se réduisent bientôt à une simple lecture publique de la pièce. En 1933, adversaire du régime nazi, Brecht prend le chemin de l'exil ; ses oeuvres et leur diffusion sont interdites dans le pays.
Dans sa mise en scène, Jean-Louis Benoit reste fidèle aux indications scéniques de l'auteur qui recommandait que cette pièce soit montée avec légèreté. Comme souvent chez Brecht, musiques et chansons, très présentes ici, servent de ponctuations au récit. Sur scène, 15 jeunes comédiens se donnent la réplique et interprètent les chants écrits par Hanns Eisler lors de la création de la pièce. Le pari de ce spectacle, c'est aussi de voir comment des jeunes gens, en 2006, se réapproprient l'Histoire.

Une superbe mise en scène, de très bons comédiens... Et évidemment une pièce de B. Brecht.
Encore un super engagement de sa part comme l'avait été Schweik dans la Seconde Guerre mondiale ou La Résistible Ascension d'Arturo Ui. Quoiqu'il n'y a ai pas le moindre moindre effet comique dans cette pièce, mais cependant toujours allègée par des chansons.

La maison de Vaison.

Je suis enfin descendu voir les parents dans leur nouvelle maison.

La région est superbe, même s'il y fait toujours froid !

Le Mont Ventoux

Les dentelles de Montmirail

Orange

Le pont du Gars

Avignon

Nuit blanche...

Un jour ce fut la nuit blanche et nous y sommes allé..
un jour de courage, j'ai mis ces photos sur mon pc et sur mon blog...

Aujourd'hui je les publie enfin... et c'est pas terrible , alors avec Soumia, on a refait la nuit blache à la maison... et c'était mieux !

Si on résume :

Entre les cierges dans les chaussures, la nana qui remonte les poupées... et le bruit et la lumiere au théatre du chatelet, il n'y a pas grand chose à retenir... Sauf, qu'on a vu la BAC et ce fut sympa !

Soumia voulait appeler cette série de photos Requiem for a Dream puisqu'elle a été réalisée sur la bande originale du film du même titre... J'aurai préféré l'appeler BOB la Main... m'enfin... on peut pas toujours être d'accord !

Du Beau, du bon, du Beaune !

Gros gros gros Week End alcoolisé !

Mais attention que du bon, hein ! Pas de vieux pape et compagnie... que du lourd !

1 magnum de Vosne Romanée 2003
1 magnum d'Aloxe corton " les guerets" 1er cru
3 Vosne Romanée 2004
6 Cote de Beaune "les Pierres Blanches" 2000
6 Chablis 1er cru Fourchaumes 2002
6 Chablis Vieilles vignes 2000

Et ça c'est ce qu'on a acheté... parce qu'on en a ingurgité légèrement plus !!!!

Je rappelle que boire avec modération est une connerie quand c'est du Bourgogne !

Mi-lourd en mai

Par un beau dimanche ressemblant à un autre dimanche de mai... puisque sous la pluie...
C'est sous une envie soudaine que cette balade vit le jour :

- Le jardin du Luxembourg

Havre de paix des parents bourgeois le WE et des étudiants en semaine. Quelle n'a pas été ma surprise en voyant devant moi, espiègle comme un écolier, ce parterre bleu, ces bamboux verts et ces visages ocres !
La forêt des mânes est devant moi, la pluie me souhaite la bienvenue, je lui retourne le compliment... Mes voisins ne sont pas de cet avis... L'orage gronde, ils courent comme a l'ouverture des soldes... Et oui, le sol recouvert de cailloux bleux, fond... les cailloux déteignent ! ça me laisse le temps de photographier le site paisiblement.
http://www.senat.fr/evenement/manes/index.html

La balade continue...

Et la comme le nez au milieu de la figure... un nez dans La fontaine Médicis, ou plutot un début de visage ! je flaire la photo rigolote ! je marre... je suis dans les temps... le nez aussi ... est dans l'étang !
Par contre, je ne sais pas qui c'est, ce que c'est ... mais finallement, c'est joli... C'est ce qui compte.

Changement de cap...

nous sommes maintenant au pied de la BNF François Mitterand. C'est la première que je rentre dedans... Je n'en dirais pas plus, j'ai déja tout dis il y a quelques jours, ici :
http://boomove.noosblog.fr/cybre/2006/05/photos_pour_fai.html

Pour terminer,

Du grunj ! Du n'importe nahoik ! Du truc que je peux pas comprendre... LES FRIGOS !
Bon, je voulais voir... j'ai vu. En fait, aprés quelques recherches ( pas trés approfondis... tout est sur le site http://www.les-frigos.com ), j'ai enfin compris que ce n'était pas un SQUAT, mais des ateliers loués... comme n'importe quels ateliers. Ca a calmé mes ardeurs... Reste que les gens à l'intérieur regardent les visiteurs de haut et racontent leurs dernières aventures de leurs mômes à l'escrime... autant dire branchouille et compagnie, qui tend maintenant vers le réel bourgeois tout simplement... Il suffit de voir les 4x4 garés en bas... dans leur parking !

On est aussi passé devant le fameux 58 rue de RIVOLI... mais ça sera le sujet d'une autre note...

De musées en musées...

Non content d'avoir passé 4 excellentes journées à Barcelonne à silloner 12 musées... Me revoila
encore dans un musée, le musée d'Orsay avec Soumia et Nicolas. Et pourquoi vous dis je ça ? Tout simplement parce que hier était le 1er dimanche du mois et que les musées nationaux étaient gratuits.
Alors je le rabache une nouvelle fois puisque, soit les gens ne sont pas au courant, soit ils n'y vont pas...
Alors tant que je n'aurai pas eut au moins 10 commentaires attestant leur visite d'un musée ce jour-dit ( non aucun rapport avec Jordi, ne plaisantez pas, c'est sérieux !) je ponderai une note dessus !
Voila !

Voici la liste des musées nationaux :

Paris
     Orangerie
     Louvre
     Picasso
     Moyen-Age-Cluny
     Delacroix
     Rodin
     Orsay
     Arts d'Afrique
     Guimet
     Arts & Trad. Pop.
Ile de France
     Fontainebleau (g&p app.)
     Granges Port-royal
     Antiquités nat. (St Germain)
     Domaine de Versailles *
     Malmaison-Bois-Préau
     Céramique (Sèvres)
     Renaissance (Ecouen)
Aquitaine
     Préhistoire (Les Eyzies)
     Pau
Bourgogne
     Magnin (Dijon)
Corse
     Maison Bonaparte (Ajaccio)
Limousin
     Porcelaine (Limoges)
P. de Loire
     Deux victoires (Mouilleron)
Picardie
     Coop. Franco-américaine
     Compiègne
Poitou-Ch.
     Napoléonien (Ile d'Aix)
     Africain (Ile d'Aix)
Pr.Alp.C.d'Azur
     F. Léger (Biot)
     Marc Chagall (Nice)
     Picasso (Vallauris)

Pour faire une super tarte aux poireaux qu'elle est bonne !

Ingrédients (pour 4 à 6 personnes) :

- 1 pâte feuilletée
- 6 oeufs
- 200 g de gruyère râpé
- 30 cl de lait ou crème fraîche
- 4 poireaux
- 4 pommes de terre de taille moyenne
- 400 g de lardons
- sel, poivre

Préparation :
On epluche les pommes de terre.
Et puis on les laves ainsi que les poireaux
on coupe les patates et les poireaux en cubes et mettez-les à cuire dans de l'eau bouillante salée pendant une vingtaine de minutes (vérifiez que vos pommes de terre sont cuites en les piquant avec un couteau pointu).
Pendant ce temps, on étale votre pâte dans un moule à tarte (beurré si vous enlevez le papier sulfurisé) et piquez-la à la fourchette.
On préchauffe le four à thermostat 7/8 .
Faites revenir les lardons à la poêle sans ajouter de matière grasse.
Une fois cuits, mettez-les sur le fond de tarte.
Préparez votre appareil avec les 6 oeufs, le lait, le sel, le poivre et le gruyère.
Et on mélange bien, c'est compris ?
Egouttez vos pommes de terre et poireaux.
Disposez-les sur les lardons.
On recouvre avec l'appareil et on enfourne.
Surveillez la cuisson qui est approximativement de 50 mn.
C'est cuit quand la tarte est dorée, c'est pas compliqué !

Et c'est super bon ! Vous pouvez demandez a mes copains...même si ça fait longtemps !