Alain Leclercq, 38 ans, est un des sept salariés de la teinturerie Staf à Hénin-Beaumont à qui on a proposé d'être reclassé au Brésil ou en Turquie, aux salaires locaux de 315 et 230 euros. C'est ça ou la porte. «Hors de question» répond le salarié porte parole de ses six collègues. Interview.
D'un côté, le Brésil ça fait rêver !
Rédigé par : Cybre le voyageur | 11/04/2008 à 12:07
C'est que qu'on appelle travailler plus loin pour gagner bien moins
Rédigé par : Kiri | 10/04/2008 à 21:43