Il y a quelque chose qui cloche, man !

Le racisme, se taire, c’est l’accepter 

Jean-François Lamour, ministre de la Jeunesse, des Sports et de la
Vie associative tiendra une conférence de presse au Stade de France,
samedi 29 avril, en compagnie de Jean-Pierre Escalettes, président
de la Fédération française de football, et de Carine Bloch,
vice-présidente de la LICRA.
Ils annonceront le lancement de la campagne "Le racisme, se taire,
c’est l’accepter". Elle visera à sensibiliser les acteurs du monde
du  football à la lutte contre le racisme.
-  Le site du ministère des Sports                                    
-  Le site de la Fédération française de football     

A ouais ? Et le ministre de l'intérieur est-il convié ?
Parce qu'a force de reluquer le derrière du FN, celui-ci
va finir par prendre la place de son trou du cul !


Pour terminer :

 Le blog de Clocheman
http://clocheman.skyblog.com/

le site de Clocheman
http://clocheman.com





Jean-Paul Fautou alias « Clocheman » a débuté une Grève de la Faim
le 17 mars 2006, il est donc entrain d'entamer son 42eme jour de
grève (le 27/04/06).
Malheureusement son état se dégrade. C'est ainsi qu'il est
fortement atteint physiquement et psychiquement. Toujours en
grève de la Faim, bien qu'entré dans un delirium navrant, Jean-Paul
réitère son appel au prés du gouvernement.
Jean-Paul Fantou a des propositions simples et concrètes pour
réformer les centres d'hébergement d'urgence de part le point
de vue d'un exclu.
C'est réformes seraient une réponse adéquate aux problèmes que
rencontre l'état avec ces centres d'hébergements d'une part mais
aussi avec les institutions de réinsertions qui connaissent une
crise de longue date.
C'est dans un ultime effort que Jean-Paul Fautou, non alimenté
depuis 41 jours, demande l'intervention du gouvernement (notamment
en proposant l'ouverture de négociation sur la bases de ses
propositions) qui reste sourd malgré sa grève et bien qu'une réponse
par mail datant du 15 avril nous informait de la vigilance du
gouvernement par rapport à sa grève.
L'on peut noter que ces réformes pourraient s'inscrire dans le cadre
des changements à opérer pour que le modèle social français n'est
pas de social que le nom.