
JAZZ A LA VILLETTE...
1ere expérience :
1ère partie: Octurn / Magic Malik
Magic Malik / Octurn
Guillaume Orti, saxophone
Bo Van der Werf, saxophone
Laurent Blondiau, trompettes
Fabian Fiorini, piano
Chander Sardjoe, batterie
Jean-Luc Lehr, basse
Josef Dumoulin, fender rhodes
Magic Malik, flûte
Nelson Veras, guitare
Gilbert Nouno, électroniques
Deuxième partie
Steve Coleman, saxophone alto
Ravi Coltrane, saxophone tenor
Miguel Zenon, saxophone alto
Tony Malaby, saxophone tenor
Chris Speed, clarinette
Chris Speed, clarinette
C’est la nouvelle idée germée de la fertile imagination de Steve Coleman. Un groupe excitant à bien des égards, à nul autre pareil, à la fois par son instrumentation insolite uniquement composée de saxophones et de clarinettes et par la réunion de fortes personnalités qu’il constitue. Six musiciens, six improvisateurs exceptionnels qui incarnent autant de facettes du jazz new-yorkais actuel : outre Steve Coleman, maître d’oeuvre de ce sextette, on retrouve ainsi son complice Ravi Coltrane, l’altiste portoricain Miguel Zenon, nouveau maître de la science des claves latines, le ténor Tony Malaby, expert de l’improvisation libre, le clarinettiste Mike McGinnins, membre actif de groupes underground expérimentaux, et Chris Speed, figure essentielle de la scène de Brooklyn.
Comme ça on pourrait y croire...
Steve Coleman, Ravi Coltrane, Magic Malik étaient des noms qui me disaient vaguement quelque chose. Histoire de mettre un visage et meme un son sur leur nom, on se jette sur le festival de la Villette...
Si on devait être aussi désagréable qu' Antoine ( Le gout des autres) , on pourrait s'écrier : " Mais c'est une sombre merdeeeee !". Mais on ne le dira pas.
De l'impro, que de l'impro, on aurait peut etre pu regarder le programme avant !
Si la 1ère partie s'en sort pas trop mal encore qu'on sait tout de même fait la réflexion : " J'espere que la deuxieme partie sera mieux... ". La 2ème tourne à la cata, la cata... la catastrophe... pas de rythme... rien... inaudible... Quand 2 joueurs faisaient un son synchro, voir mélodique, ils se reprennaient rapidement pour vite corriger cette bévue. Conclusion, c'est l'hémorragie, la salle se vide de son contenu, faute de contenant. ça nous a calmé sur le reste du festival, on arrete tout en esperant ne pas etre dégouté à vie du Jazz...
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