Le nouveau pape Benoît XVI est un théologien conservateur
ouais, super, les extremistes vont adoré !... euh comment vous dire ! J'ai honte d'être baptisé en fait! oui, c'est ça...
Bon, ce qui me rassure c'est que JP II est mort à 81 ans... j'espere que beunet XVI va en profiter un peu tout de meme !!
Sinon, au taf, tout rentre dans l'ordre ! je peux enfin un peu glander...non je déconne... et j'adore mon chef (on ne sait jamais)...
Ah une dépeche AFP viend de tomber.
PARIS, 19 avr (AFP) - Le président du Parlement européen (PE), Josep Borrell, a estimé mardi à Paris qu'il "n'y aura pas de renégociation du traité constitutionnel européen" en cas de victoire du non à la Constitution au référendum du 29 mai en France. Je suis bien d'accord avec lui..; alors on se bouge, et on vote OUI !
"Il ne faut pas croire que parce que la France n'est pas tout à fait satisfaite, il y aura un rafistolage", a-t-il ajouté lors d'une réunion avec presse à l'occasion d'une visite officielle au cours de laquelle il a rencontré le président Jacques Chirac, le ministre des Affaires étrangères Michel Barnier,
le président du Medef Ernest Antoine Seillière, des syndicats et le parti socialiste.
"Il n'y a pas de plan B. Si les Français pensent qu'on aura mieux après un non, c'est une fausse idée, on en restera au traité de Nice", a-t-il poursuivi.
M. Borrell a indiqué avoir "la sensation que les Français croient que l'Europe c'est comme une France en grand".
"Il faut, pour faire l'Europe, accepter qu'il y ait des pays avec d'autres points de vue. Les nouveaux membres de l'UE ont 16 % des voix dans la Constitution alors qu'ils en ont 26 % avec le traité de Nice, alors ils ne vont pas accepter de passer à 12 % pour faire plaisir à la France", a-t-il argué.
Le président du PE a estimé qu'"il n'y aura pas une majorité suffisante pour imposer une renégociation". Il s'est également demandé "comment faire pour donner satisfaction aux Français, faut-il satisfaire Henri Emmanuelli (socialiste en faveur du non) ou Philippe de Villiers (droite pour le non)?"
M. Borrel, qui appartient au parti socialiste espagnol, a affirmé qu'il avait défendu lors de la discussion sur la Constitution "une harmonisation fiscale votée à la majorité qualifiée" et "que la Banque centrale européenne s'occuppe de la croissance" comme le réclament les partisans du non mais qu'il "s'était heurté à un refus absolu" de certains pays.
Rappelant que le Parlement européen avait voté à 74 % en faveur de la Constitution, il a souhaité que le débat sur le référendum "ne reste pas un débat franco-français" et "évite de faire payer à l'Europe les problèmes franco-français".
Commentaires