ça s'appelle de l'acharnement ! C'est scandaleux !
Le parquet de Dijon a ouvert le 20 juin une enquête préliminaire pour «provocation au suicide», dans l'affaire du décès de Chantal Sébire, une mère de famille de 52 ans atteinte d’une tumeur incurable et qui demandait l’euthanasie. Elle avait été retrouvée morte à son domicile de Plombières (Côte-d’Or) le 19 mars, après avoir absorbé une «dose mortelle» de barbiturique, accréditant la thèse d’un suicide.
Le parquet de Dijon a ouvert le 20 juin une enquête préliminaire pour «provocation au suicide», dans l'affaire du décès de Chantal Sébire, une mère de famille de 52 ans atteinte d’une tumeur incurable et qui demandait l’euthanasie. Elle avait été retrouvée morte à son domicile de Plombières (Côte-d’Or) le 19 mars, après avoir absorbé une «dose mortelle» de barbiturique, accréditant la thèse d’un suicide.
La première phase de
l’enquête, «qui consistait à porter officiellement à la connaissance de
la famille le résultat de l’autopsie et des analyses biologiques», est
à ce jour terminée, a souligné le procureur de la République,
Jean-Pierre Alacchi.
Fin mai, le magistrat avait expliqué qu’«à l’issue de cette première phase, il réexaminerait les éléments de l’enquête pour apprécier l’opportunité d’ouvrir une enquête préliminaire pour rechercher les conditions dans lesquelles Chantal Sébire a pu se procurer le produit qu’elle a utilisé pour mettre fin à ses jours».
LIBERATION.FR : mercredi 25 juin 2008
Fin mai, le magistrat avait expliqué qu’«à l’issue de cette première phase, il réexaminerait les éléments de l’enquête pour apprécier l’opportunité d’ouvrir une enquête préliminaire pour rechercher les conditions dans lesquelles Chantal Sébire a pu se procurer le produit qu’elle a utilisé pour mettre fin à ses jours».
LIBERATION.FR : mercredi 25 juin 2008
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Rédigé par : Magdalena | 28/10/2008 à 19:01