Cybre O.S.86 The_Little_Bug

Maradona par Kusturica

  Ce n'est pas la peine de me persuader ou de discuter avec moi, je serais impartial avec ce film ! Un film de Kusturica avec Manu Chao dedans ne peut pas être un mauvais film... Et en plus, il y a Maradona !

Effectivement ce n'est pas un documentaire et tant mieux, c'est plus que ça. C'est drôle, émouvant et on donne la parole a Maradonna qui n'a pas que des conneries a dire... Il en a à faire aussi !
Difficile d'approcher Maradona et de lui faire cracher sa Valda, mais il y a arrive et c'est assez touchant... La musique est bonne et l'Église Maradonnienne est incontournable !
Donc oui, j'ai aimé, mais je vous avez prévenu, je ne suis pas objectif !

Synopsis
Emir Kusturica célèbre dans ce film l'incroyable histoire de Diego Maradona : héros sportif, Dieu vivant du football, artiste de génie, champion du peuple, idole déchue et modèle pour des générations du monde entier.
De Buenos Aires à Naples - en passant par Cuba - Emir Kusturica retrace la vie de cet homme hors du commun, de ses humbles débuts à sa notoriété mondiale, de la plus spectaculaire ascension au déclin le plus profond.
Un documentaire unique sur une légende vivante, filmé par son plus grand fan.

Les parisiens sous l'occupation...

Une exposition qui dérange !

Pourquoi ?

Tout simplement parce qu'elles montrent des parisiens heureux pendant qu'à moins d'un kilomètre, il y avait des rafles... Effectivement, ça laisse rêveur...

Et si c'était vrai ! Et si il n'y avait pas que des juifs persécutés, des collabos et des résistants à PARIS ? Et si il y avait aussi des gens qui s'en foutaient ? Un peu comme si un Israélien était sur la Plage de Tel-Aviv alors que les Palestiniens crevaient dans leur ghetto, ou un Russe se gorgeant de Caviar sans penser à la Tchétchénie ! ou même, imaginons l'impensable, un français sur une terrasse qui boit une bière sourit alors qu'il y a un SDF a côté de lui !  Non c'est vrai ! C'est impossible !

Zucca a travaillé pour un journal de propagande nazi... Ah oui ça calme ! Ces photos sont donc de la propagande !

Oui mais non, ces photos non jamais été utilisées, jamais publiées ni même montrées au public ! Alors  c'est vrai pourquoi faire ces photos ?

On le soupçonne d'avoir fait ces photos en demandant de poser ! Honte à lui !

Enfin, comme tous les autres photographes finalement !
Et puis... celle des femmes en bikini sur le bord de la piscine... ça m'étonnerai !

On lui reproche de ne montrer que le coté positif !

ça change de l'ordinaire ! Est ce qu'on a déjà dit que des gens était heureux pendant l'occupation ?
C'est une réalité ! Et faire une polémique la dessus, c'est nier l'évidence, le parisien est finalement qu'un français... qui sourit quand il y a un ciel bleu !

Parce que la chose que peu de gens savent, c'est que les pellicules a l'"poque ne valait pas tout a fait celle d'aujourd'hui. Pour prendre des photos couleur il fallait énormément de lumière pour imprimer sur la pellicule et donc beaucoup de soleil ! C'est con, mais voila pourquoi il ne pleut pas sur les photos de ZUCCA.

Je ne le défend pas ( quoique si un peu ), mais je trouve scandaleux de cracher sur des clichés qui sont de surcroit très impressionnant ( très beau et très instructifs aussi ) sur le simple fait de ne montrer que des gens heureux !

Pour finir ! Gala montre t-il des gens crever de faim à coté de Sarkozy, Paris Match montre t-il les rafles organisés par Hortefeux à coté de Boorlo ? Non ?
Est ce que ça vous dérange pour dormir de voir que cette France en lisant ces journaux de propagande !

La Bibliothèque Historique de la Ville de Paris présente jusqu’au 1er juillet 270 photographies inédites sur une vision de la vie parisienne pendant l’Occupation et la Libération. André Zucca avait le « privilège » de disposer de films couleurs parce qu’il travaillait pour le magazine Signal, organe allemand de propagande nazie vantant la puissance de la Wehrmacht et de la Waffen SS. Un témoignage photographique qui n’en demeure pas moins important, par la qualité des vues, par sa rareté, par sa valeur historique.

 

Il s’agit là d’un témoignage saisissant d’une certaine vision de la vie quotidienne de certains Parisiens pendant les années noires, de l’Occupation à la Libération. Toutes les photographies sont issues de l’exceptionnel fonds détenu par la Bibliothèque - près de 12000 clichés sur le Paris occupé (10600 clichés noirs et blancs et 1058 photos couleur). Les photographies présentées ont fait l’objet de corrections minutieuses, qui ont permis de restituer les couleurs avec exactitude.

Ce que nous donne à voir André Zucca est un Paris léger, voire insouciant. Il a choisi un regard qui ne montre rien, ou si peu, de la réalité de l’occupation et de ses aspects dramatiques : files d’attentes devant les magasins d’alimentation, rafles de Juifs, affiches annonçant les exécutions… Dans ces images, nulle trace non plus de la Résistance, pourtant présente à Paris dès 1940.

Ces photographies relèvent d’une démarche très personnelle, fruits de longues promenades à travers Paris, que Zucca parcourt en tous sens. Il semble poursuivre la réalisation d’une œuvre, en utilisant une technique nouvelle, la couleur,  et en donnant ainsi le sentiment de ne pas se préoccuper de ce que vivent par ailleurs les Parisiens. Il a probablement en permanence deux boîtiers sur lui : pour le noir et blanc, son fidèle Rolleiflex 6/6 avec lequel il a déjà fait le tour du monde, et pour la couleur, un 24/36 Leica. Et quelques pellicules de 15 Asa…

La pellicule couleur était encore à l’époque d’un maniement difficile pour les photos extérieures nécessitant une lumière forte, ce qui contribue à l’impression dégagée par ces photographies d’un Paris constamment ensoleillé et coloré. Individualiste forcené, Zucca joua de la couleur en esthète et photographia sans désemparer le Paris allemand, les devantures et les affiches…tous sujets qui échappaient à la censure. Ce sont ces promenades que l’exposition présente, traces étranges du travail d’un photographe au parcours ambigu, mais dont la valeur propre présente un intérêt historique et artistique incontestable.

André Zucca (1898-1973)

 

Après de nombreux reportages à travers le monde, André Zucca devient l’un des photographes de presse les plus actifs dès 1937. Correspondant de guerre pour France Soir et pour Paris Match en septembre 1939, André Zucca est  requis par l’occupant en 1941 et participe alors au magazine de propagande Signal, bimensuel diffusé dans les pays occupés.
De toutes les photographies présentées dans l’exposition, pas une seule ne fut publiée dans ce magazine nazi, qui réservait la couleur aux seules photos de guerre.
André Zucca était d’abord un reporter d’images, passionné de photos. Lui qui se voulait apolitique était un anarchiste de droite. Mais pendant l’Occupation, il s’accommoda de la présence de l’occupant, devint germanophile sans être pour autant un collaborationniste engagé. Avoir travaillé pour le journal de propagande nazi Signal lui valut en octobre 1944 d’être poursuivi pour atteinte à la  sûreté extérieure de l’Etat. L’insuffisance d’autres éléments à charge, la protection de l’entourage du général de Lattre de Tassigny, les critiques  formulées naguère à son endroit par la rédaction de Signal expliquent le « classement » de son dossier en octobre 1945. Menacé de passer devant une chambre civique, il préféra quitter Paris pour vivre sous un nom d’emprunt dans les environs de Dreux.

Renforcement du dispositif d’information des visiteurs

Suite aux réactions suscitées par l’exposition, le dispositif d’information proposé aux visiteurs a été renforcé.    

Un large extrait de la préface du catalogue de l’exposition (Éd Gallimard/ Paris Bibliothèques), préparée par Jean-Pierre Azéma, historien spécialiste de cette période, est repris dans l’exposition depuis son ouverture et rappelle également le contexte historique dans lequel ces photographies ont été prises.

   

Dès le début du mois d’avril, un panneau d’avertissement installé à l’entrée de l’exposition, rappelle ce qu’était le journal Signal et quelle avait été l’attitude d’André Zucca pendant la guerre. Ce texte, complété par JP Azéma fin avril, est également remis à chaque visiteur.

   

Plusieurs débats sont organisés à la BHVP, en complément de la rencontre du 31 mai initialement prévue autour du thème La photographie est-elle un bon témoin de l’histoire ? avec Pascal Ory, Jean- Pierre Azéma et Françoise Denoyelle. Une conférence est organisée à l’Hôtel de Ville avec la Ligue des droits de l’Homme. A partir du 30 avril, des visites commentées de l’exposition sont organisées deux fois par semaine.

Bibliothèque historique de la Ville de Paris
22, rue Malher (4e)
Tél. 01 44 59 29 60
Du 20 mars au 1er juillet 2008
Du mardi au dimanche de 11h à 19h
Entrée : 4 euros / 2 euros (tarif réduit)

 

Métro : ligne 1
Bus : 69, 76, 96

Bataille à Seattle

Le problème avec ce genre du film, c'est qu'on a du mal a savoir ou est la limite entre le fait réel et le fictif... les images en caméras embarquées sont-elles vraies ?

En tout cas, ça demande évidemment des investigations. Ce n'est évidemment pas un mauvais film même si on peut se demandé que fait Woody Harrelson dans le film !

Donc a voir si on est anti-OMC... Et pour ma part, ça tombe plutôt bien !

Mais on reviendra sur ces évènement un peu plus tard !

Synopsis
En 1999, de gigantesques manifestations se sont opposées à la tenue de la conférence de la toute-puissante Organisation Mondiale du Commerce à Seattle. Jamais l'opposition n'avait été aussi forte, aussi frontale et aussi violente...
Bataille à Seattle nous plonge au coeur de ces événements à travers le point de vue de plusieurs personnes, manifestants, policiers, délégués de l'OMC, médecins. Ces cinq jours qui ébranlèrent le monde et marquèrent spectaculairement la naissance d'un altermondialisme planétaire livrent enfin leurs secrets et leurs enjeux...

Ciao Stefano

Bueno, mais pas grandissimo !
Il manque la petite touche !
Pourtant le B.O. est top, c'est une bonne pop anglaise, l'acteur principale tient plutôt la route.
C'est peut être tout simplement par ce qu'il y a trop d'histoires trop simples et tout cas réglées de façon simpliste.
Dommage !

Synopsis
Stefano Nardini, un air d'adolescent malgré ses trente-cinq ans, vit sa bohème à Rome. Il est guitariste dans un groupe qui rencontre des difficultés à être reconnu. Le jour où il découvre dans le lit de sa petite amie le guitariste d'un groupe qui monte, la déprime le gagne. Il retourne dans sa famille, loin, près de Rimini, région riche et industrieuse, où l'on ne perd pas son temps en chimères. Son frère Alberto a repris la tête de l'entreprise familiale qui produit des sirops et des conserves de fruits. Michela, sa soeur, a abandonné la fac pour suivre sa passion : elle travaille dans un parc aquatique où elle s'occupe des dauphins. Toute la famille salue le retour du fils prodigue. Mais sous une apparente harmonie, rien ne va. Alberto vit dans un stress infernal ; il est en train de divorcer et l'entreprise est au bord de la faillite.

l'attraction fatale

La photo est explicite... mais ça vaut tout de même un petit texte

Samedi dernier, on décide de faire un petit périple à Ferrière sur Brie... Parce ce que c'est jolie...
Mouais ... "sur Brie"... ça fait pas très rouanita banana !
Un joli château... parait-il... une jolie foret... parait il...

Donc, nous voila Soumia, sa sœur Mounia et moi même partis pour aller chercher Christian..
Jusqu'ici tout va bien...
Et hop direction Bastille...
Jusqu'ici, tout allait bien.
La voiture broute et cale... c'est pas la première fois... c'est pas la dernière
2m50 plus loin elle recale... et la c'est le drame... impossible de la redémarrer...
On attend 5 minutes avant de faire une nouvelle tentative infructueuse... ( infructueuse, infruc vient du turc qui veut dire temps et tueuse... tout le monde comprend ! ) après avoir tuer le temps plusieurs fois, on décide d'agir ! On la pousse sur le bas coté, histoire de calmer les 250 4x4 qui nous klaxonnent !

J'avais déjà eut ce problème une fois et grâce à mes dons de fin technicien, j'ai pu joindre mon garagiste attitré pour qu'il me dépanne ! D'ailleurs au passage, merci Eric !

Donc, fastoche ! C'est juste la pompe à essence qui s'est désamorcée !
On pompe manuellement la pompe à essence, on met 3 gouttes d'essence dans le carburateur et on souffle pas trop fort dans le réservoir pour créer une petite pression... ça je peux vous le dire aujourd'hui, mais je ne savais pas avant de l'avoir fait !
il faut souffler un peu dans le réservoir et pas comme une brute ! Parce que sinon, vous faites comme moi et vous avez un vieux retour de derrière les fagots et vous vous retrouvez recouvert d'essence... avec la peur au ventre, espérant qu'un survivant du temple solaire n'est pas derrière vous !

Bref me voila trempé d'essence, les yeux explosés en chialant ma mère... Et la, il y a quelqu'un qui me dit : " ba oui, bien sur ! La poussée d'archimède ! Bien sur Archimede, toute pression exercée sur un fluide aboutit a une poussée contraire équivalent à la première poussée ! "

- Et ben oui ! bien sûr gros malin ! sauf que pourquoi la poussée contraire c'est pas l'air que j'ai soufflé !!! T'as de la chance d'avoir un briquet à la main toi !!!

Bref je pense donc je m'essuie tant bien que mal !

Et on passe au plan B !

Demander à quelqu'un de plus compétent que moi c'est a dire n'importe qui !
Et là le miracle, une fille bien attentionnée de la boutique de moto se situant juste a coté décide d'arrêter de rire et de nous aider !
C'est la batterie s'écrit-elle ! Un coup de booster et c'est repartit !

- Ah ouais ! bien sur un coup de gousse d'air !!!  C'est quoi ?

Elle part et revient avec une sorte de batterie... le branche sur ma batterie à moi, rien qu'à moi que moi seul a le droit de toucher d'habitude ! Mais la je fais une exception ! gzzz... gzzzz fait la batterie qui étincelle !!!
Faut peut etre que je retire le contact là ! Non ?
Et la, le miracle Isaac redémarre ! Fièr comme un vacker, je fais vrombir mes mon cheval sous le capot !
Et maintenant qu'est ce qu'on fait ? On continue le mission ? Et une fois arrivée la-bas on la laisse tourner pendant qu'on pique-nique ?

Bon, il faut passer au plan C !

Trouver une batterie... ou un Bouseteur !!!

(Pour ceux qui ne savent toujours pas ce qui est un booster, c'est en faite une batterie hyper puissante qui peut transformer Isaac en ferrari pendant au moins 1 seconde ! )

Pas de Prob Bob, le BHV est fait pour moi, je monte sur mon destrier fantastique qui lui ne m'a jamais laissé tomber, merci Herr Atépé.

1/4 h après me voila devant le bazar, que je trouve finalement bien rangé.

- Monsieur s'il vous plait ! Une batterie 6 volts s'il vous plait !
- !!! Pourquoi faire !
- Notre gegene est en panne, on voudrait finir  de torturer un Algérien !!!!
- !!!
- Non je déconne c'est pour une traction !
- désolé Mossieur, nous avons cet article en magasin !
- Et un booster 6 V ?
- désolé Mossieur, nous avons cet article en magasin !

9 sortes de batterie 12v venues du monde entier et pas un 6 volt vive la mondialisation !

je reviens bredouille auprès du chevet d'Isaac...

Il faut passer au plan E,

Je démonte la batterie pour la refaire charger chez nos nouveaux amis d'un jour.
Et nous comme des cons et charger comme des mules, on prend le 86 qui comme tout le monde le sait emmène au Zoo de Vincennes...

voila comment aurait pu terminer cette histoire...

Sauf qu'il faut vous dire que j'ai gagner le trivial Pursuit avec les 6 camemberts et une roue de Brie et que le retour ne sait pas fait sans mal !

Une fois retournés sur Pairs et la batterie remontée, Isaac ne voulait toujours pas démarrer ! Ce qui impliquait un coup de booster...

Jusqu'ici tout va bien...

Nous revoilà parti en traction laissant Christian se démerder tout seul parce que tout de même c'est un peu de sa faute, c'est lui qui a eut l'idée !

On prend les quais

Jusqu'ici tout va bien...

On prend le périphérique

Jusqu'ici tout va bien...

sortie porte de la Villette en vue

Ok Rogeeeur... vas y fonce le feu est vert....

Et la c'est a ce moment que notre vie a basculer !
Isaac n'a pas tousser, elle s'est éteinte... comme une fleur... ou plutot comme une grosse merde à la sortie du périph' !

Je t'en foutrait de la poésie ! On est dans la merde ! nom d'une catin en latex !

Impossible évidemment de la redémarrer...
Alors on l'a poussé sur 1km !
De porte de la vilette à son box ! avec les descentes et les montées !!!

Les klaxons des 9-3 ! qui soit dit en passant sont au volant des vrais dégénérés mentaux... ( c'est peut être un peu fort, mais ça fait du bien, il fallait que ça sorte.) et les phrases a la cons des passants

Une grand-mère à ma droite :

- C'est pas la peine d'avoir une belle voiture si c'est pour en faire ça !

Plus loin, un petit vieux sur ma gauche :

- Monsieur à peur de l'user ? Avec le prix de l'essence voila ce qu'on nous réduit à faire !

Ba voila tout est a peu prés dit... et romancé...

L'épilogue tient en 3 lignes ( vous pourrez compter )

J'ai redémonté la batterie et recharger à bloque pendant 24 h... le lendemain Isaac à redémarrer comme une fleur... C'est trop chouette les balades en traction....
Même pas eut besoin de mon plan F !

PIQUE-NIQUE du 3 MAI

Et oui, on a fait un pique nique à Vincennes... étonnant non ? Parce que nous, on en revient toujours pas...

L'explication sera pour demain !

Bourgeois Gentille Femme...

Très belle exposition de Louise Bourgeois au Centre Pompidou.

Pas trop longue pas trop courte, pas chiante, pas incompréhensive...

Donc, à ne pas rater.

Elle se poursuit dans le jardin des Tuileries par 2 œuvres, une magnifique Araignée géante et un autre truc...

Organisée par le Centre Pompidou en collaboration avec la Tate Modern de Londres, cette exposition rétrospective de l'oeuvre de Louise Bourgeois présente plus de 200 oeuvres (peintures, sculptures, installations, dessins, gravures, objets) réalisées entre 1940 et 2007. Elle insiste particulièrement sur les dix dernières années de création de cette artiste âgée de 96 ans qui ne cesse de renouveler son langage artistique.

Née en France en 1911 et vivant à New York depuis 1938, Louise Bourgeois est une des artistes majeures de la fin du 20e et du début du 21e siècles. Traversant divers mouvements artistiques comme le surréalisme, l'expressionnisme abstrait, le minimalisme, elle développe un langage personnel qui rejoint les pratiques les plus contemporaines et exerce une grande influence sur de nombreux artistes. Son oeuvre, qui oscille entre figuration et abstraction, obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance.

L'exposition est présentée en deux parties : un parcours chronologique dans la Galerie 2 et une "exposition dans l'exposition" dans la Galerie d'art graphique du Musée, réunissant dessins, gravures et sculptures de petit format pour rendre compte de la permanence de certains thèmes et de la diversité des techniques et matériaux employés.

Et puis voila 2-3 photos que j'ai prises aussi !

Shine a light

C'est sur, si on aime pas les Rolling Stones, faut pas aller ce film...

Mais si on est fan invétéré... invétéré, j'ai dit, pas invertébré ! Alors, c'est le bonheur...

Et au Max Linder, on est toujours gâté... Belle image, gros son... tout est bon...

On trépigne pendant le concert, on bat le rythme.. On kiffe grave quoi !

Un vrai bonheur... vivement le DVD !

Synopsis

Martin Scorsese réalise son rêve de toujours : filmer les Rolling Stones, le groupe qui incarne le rock'n'roll à lui tout seul. Le gang qui a escorté toute son oeuvre. Cette rencontre cinématographique donne naissance au film musical événement : Shine a Light. De la préparation à la performance, entrecoupé d'images backstage et d'archives, 16 caméras et les plus grands chefs opérateurs internationaux captent l'énergie légendaire de Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts et Ronnie Wood lors de leurs concerts au Beacon Theatre à New York. Shine a Light : dans l'intimité d'un groupe mythique et du plus rock'n'roll des cinéastes !

NATHAN LE SAGE

J'ai beaucoup aimé cette pièce, les réflexions sur les 3 religions sont trés intéressantes et apporte de l'eau au schmilblick !

Les comédiens jouant Nathan et Saladin sortent du lot, c'est eux qui tiennent la pièce, sans aucun doute.

2H20 c'est long tout de même... déja au cinéma c'est long, mais alors au théatre !

1187, Jérusalem, au cœur du chaudron brûlant allumé par les Croisades. Le sultan Saladin, nouveau maître de la ville, respectueux de la foi de chacun, musulmans, juifs et chrétiens, combat les Templiers qui tuent en invoquant Dieu, ce qui ne peut trouver grâce à ses yeux, mais en épargne un. Et Jérusalem bruit de rumeurs. Le jeune Templier erre, mélancolique, et sauve des flammes, fait inouï, une jeune femme juive, fille du marchand Nathan le Sage. La « folle » journée peut commencer…
En réunissant les destins séparés de ces trois hommes, Lessing, en 1779, élève la tolérance religieuse et l'amour du prochain au rang de suprême vertu et bouscule les représentations de son temps (et du nôtre ?). Ce drame que Goethe tenait pour « une des plus hautes créations de l'humanité », par la chaleur humaine et la fraternité qui l'animent, reste vivant et terriblement actuel. Laurent Hatat souhaite, en écho à certains débats sensibles d'aujourd'hui, porter haut la puissance de ce conte philosophique aux accents orientaux, cette parabole du vivre ensemble, ce théâtre de la parole, ouvert, urbain.

voir une vidéo

http://www.theatredelacommune.com/fr/nathan-le-sage.html

L'heure d'été

Film qui pourrai semble simple, voir sans intérêt
Mais qui m'a finalement beaucoup plus touché que je ne le pensais.
Je me suis senti concerné par cette histoire même si la famille est tout de m^me largement plus bourgeoise que la notre !!!
En tout cas, Charles Berling y joue à merveille et Jérémie Renier joue toujours un rôle de connard !

Synopsis
C'est l'été. Dans la belle maison familiale Frédéric, Adrienne, Jérémie et leurs enfants fêtent les 75 ans de leur mère, Hélène Berthier, qui a consacré toute son existence à la postérité de l'oeuvre de l'oncle, le peintre Paul Berthier. La disparition soudaine d'Hélène, quelques mois plus tard, les obligera à se confronter avec les encombrants objets du passé. Cette famille, à l'apparence si heureuse, va-t-elle pouvoir rester unie ?